Dans les cultures autochtones, on considère l’être humain comme une partie de la nature au même titre, par exemple, que les animaux, les plantes, l’eau, les vents, le soleil et la lune. Aujourd’hui, beaucoup d’entre nous vivent en ville, apparemment loin de tout rapport avec la nature. En sommesnous réellement éloignés? Pouvons-nous conserver ce contact? Quelles sont nos relations avec la nature en milieu urbain? En quoi la réalité urbaine nous a-t-elle affectés?
À travers le prisme des danses et des musiques traditionnelles et contemporaines autochtones, Barbara Kaneratonni Diabo présente une nouvelle perspective sur le sujet et crée une relation inédite entre la ville et la terre nourricière.
Le spectacle sera suivi d’un atelier de danse traditionnelle.
En cas de pluie : Annexe Herb Linder, 303, boul. Beaconsfield