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  • Le premier procès verbal de la Ville de Beaconsfield date du 1er juillet 1910.
  • Les assemblées ont lieu à la salle de la maison d’école Beaurepaire. Cette salle est louée par le Conseil de Ville, et elle est située au Rang du Haut du Fleuve.
  • Le premier employé de la Ville de Beaconsfield est J.L.Vital Mallette, secrétaire-trésorier, son salaire est de 15,00 $ par mois.
  • Le 12 juin 1911, M. Mallette donne sa démission. On le remplace par Jean Marie Valois, à 15,00$ par mois.  En juillet 1911, M. Mallette est réembauché à 300,00 $ par année. En 1912, son salaire est de 420,00 $ par année.
  • On embauche, également, un constable, Monsieur Beaton.
  • Les premiers comités permanents mis en place sont le Comité des chemins, le Comité d’aqueduc et d’éclairage, et, pour le Comité des finances, un avocat en fait partie.
  • Le Comité des chemins engage un inspecteur des bâtisses, nommé Monsieur Harold E. Shorey au salaire de 50,00$ par année.
  • Un permis de construction ou autre, coûte 2,00 $
  • Un ingénieur, Monsieur B. Boulay,  des Cité et District de Montréal (terme utilisé dans le procès verbal), est consultant pour la Ville de Beaconsfield.
  • La grande préoccupation du Conseil, est la construction de chemins.
  • On engage un homme pour couper  les herbes le long des différents chemins.
  • En 1912, Monsieur Napoléon Legault est nommé inspecteur agraire de la Ville de Beaconsfield, au salaire de 25,00$ par année.  Son travail est sous la juridiction du Comité des chemins, et se terminera le 1er octobre 1913.
  • En 1914, le commissaire de l’école, où a lieu les assemblées du Conseil de Ville, demande 60,00$ par année pour laver la salle en question.  La Ville offre 50,00 $.
  • Un citoyen de Beaconsfield fait une offre à la Ville : un emplacement gratuit pour y construire un hôtel de ville ou autre bâtisse municipale sur la rue Woodland. Le Conseil remercie.
  • Un officier, spécialement nommé par la Ville, aura le devoir de surveiller l’observance du règlement no. 46. Pour non observance, il y a 40,00 d’amende, et les frais, ou possibilité de 2 mois d’emprisonnement.
  • Pendant les années de crise économique mondiale, 1929 à 1939, il y a des programmes pour venir en aide aux chômeurs. Ces programmes sont organisés par le gouvernement du Québec.  Les travaux visés par la Ville sont les trottoirs, les fossés, le nivelage et la réparation des chemins.
  • Ces chômeurs sont payés 0.20 de l’heure pour travailler 6 jours par semaine, 6 heures par jour.
  • À cette époque, on mentionne le nettoyage des lampes de rues.  
  • En 1934, la Ville demande des soumissions pour les travaux des chemins d’hiver, herse à chevaux.  Par  exemple, 1 homme et 4 chevaux coûtent 1,25 $ de l’heure, et 2 hommes et 2 chevaux coûtent 0,75 $. Ces prix sont pour le plus bas soumissionnaire.
  • Un autre soumissionnaire demandait le double.
  • Ces attelages sont à la demande du surintendant municipal qui aura la surveillance directe sur l’entretien des chemins d’hiver.
  • En 1941, pour nettoyer la patinoire, le prix était de 3,50 $.
  • En 1941, on mentionne : aucun employé de la Ville, payé à l’heure, n’est considéré comme permanent et, par conséquent, ils viennent sous l’empire de la loi de l’assurance chômage.
  • En 1941, Zéphirin Lafrance fit application pour la position d’assistant surintendant, et la Ville répond que la position n’existe pas.
  • À cette période,  la Ville décide d’acheter des gants de caoutchouc et des ceintures de sécurité pour les employés municipaux.
  • **Texte rédigé par Camilla Gagnon, archiviste pour la Ville de Beaconsfield